BrainTale, société de medtech française experte dans l’étude de la substance blanche du cerveau, annonce son soutien au projet PR[AI]RIE – Paris School of AI, lauréat de l’appel à manifestation d’intérêt IA-Cluster. Ce projet, porté par l’Université Paris Sciences & Lettres (PSL) en partenariat avec l’Université Paris Cité, le CNRS, l’Inria et l’Institut Pasteur, a reçu une dotation de 75 millions d’euros dans le cadre du programme France 2030.

L’AMI “IA-Cluster”, lancé en juin 2023 par le Secrétariat Général pour l’Investissement, vise à faire émerger des leaders académiques en intelligence artificielle en France. Ce programme a pour objectif de renforcer la recherche et l’enseignement en IA, tout en consolidant les pôles d’excellence existants, tels que les instituts 3IA initiés en 2019.

Le projet PR[AI]RIE – Paris School of AI ambitionne de catalyser les échanges entre le monde académique et industriel, de former de nouvelles générations de chercheurs en IA et de créer un pôle d’excellence en IA. Il proposera un cursus complet en IA, de la licence au doctorat, dès septembre 2025, et a pour but de favoriser l’émergence de 50 nouvelles entreprises deep tech d’ici 2030.

BrainTale, en s’associant à PR[AI]RIE – Paris School of AI, contribue à diffuser l’IA dans l’économie réelle à travers ses outils de mesure de la substance blanche du cerveau. Ces outils, non invasifs et cliniquement validés, sont destinés aux patients souffrant de maladies neurologiques telles que la sclérose en plaques, l’adrénoleucodystrophie, la sclérose latérale amyotrophique, la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson.

En intégrant l’IA dans ses produits de santé, BrainTale vise à améliorer les diagnostics, les traitements et le suivi des maladies cérébrales, offrant ainsi une prise en charge personnalisée des patients. Cette collaboration renforce la capacité de BrainTale à intégrer les dernières avancées en IA dans le domaine de la neurologie, pour mieux répondre aux besoins croissants liés au vieillissement de la population et à l’augmentation des maladies cérébrales dégénératives.